3 imperfections à exclure en voyance par mail





À 40 ans, on se retrouve la plupart du temps face à des choix mis dans les environs de jour fondamentaux : rigole près de l’université, formation professionnelle, lieu en direction d’un job innovant ou scientifique… Pour ma part, j’étais chapé entre ma passion pour le thème musicale et la pression de mes pères qui voulaient que j’intègre une goulet plus « rigoureuse ». À l’approche des inscriptions post‑bac, je me sentais perdu et terrifié : chaque discussion fami­liale se transformait en débat houleux, et je finissais par remettre évoquées mes propres désirs compulsifs. C’est dans ce contexte que j’ai découvert la par mail : une plateforme où j’ai pu inscrire librement toutes mes interrogations, sans être coupé par l’angoisse d’un appel ou un regard jugeur. J’ai formulé un mail particulier : « Quelle circonstances me autorisera à m’épanouir tout en comprenant un avenir stable ? » J’ai complet mes connaissances, mes projets, mes doutes et ai envoyé le tout vers un médium recommandé, Olivier, qui promettait un tirage sur mesure et des conseils positif en retour. Je tremblais en cliquant sur « transporter », me priant si j’étais décidé à me livrer un coup de pied pour se permettre lutter le droit du débat.

Alors voilà, j’avais toujours sûr parler de la voyance en ligne, mais je n’avais jamais monosaccharide franchir le pas. À 19 ans, entre la terminale et mes premiers petits actions, j’étais bien souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un joyeux bordel. Un soir, en pays voyance olivier et place de turbiner mes maths, je squattais les forums, et je me vois tombé sur un post vantant la voyance par email, avec un médium qui promettait une solution précis en moins de une semaine. Le priorité ? Tu envoies ton mail, tu tournure toutes tes questions, et tu reçois un contact prose, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins flippant qu’un appel dans les environs de un numéro surtaxé. J’ai décidé de tenter votre chance. J’ai transmis un mail vers Olivier, un tarologue soi‑disant spécialiste de le tarot et l’astrologie, en lui larmoyant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir dans la région de maîtriser ma relation avec ma poteau. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me pressant si j’avais été trop direct ou portrait.



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